«Des musiques dites commerciales aux oeuvres des compositeurs travaillant avec l’électricité, en passant par les « installations » et autres supports comme la danse et les arts plastiques, la programmation offrait autant d’événements qui rythmaient cette première journée aux allures de marathon – de 11h à 19h non stop – durant laquelle l’oeil était sollicité autant que l’oreille, à la faveur d’une organisation sans faille qui ménageait des temps de paroles avec les artistes.»
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