La pièce pour cornemuse seule, dédiée à Erwan Keravec, intitulée Le Cri de la Pierre, travaille sur l’aspect minéral de certains sons de cornemuse (lorsque celle-ci emploie
de nouvelles techniques de jeu) et en fait jaillir un chant tout aussi étonnant qu’inattendu, élaboré à partir de poèmes du poète québécois Fernand Ouellette.
Philippe Leroux