En complément du concert d’ouverture, l’Orchestre de la Suisse Romande marque son engagement dans la création en reprenant Mar’eh, concerto pour violon de Matthias Pintscher joué par le grand Renaud Capuçon, en regard du testament musical de Bernd Alois Zimmermann, Stille und Umkehr, dont le Ré obstiné, rythmé par la caisse claire, annonce la mort et la renaissance de la musique au-delà de la modernité.