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Le quatuor ouvre les portes des pièces les plus sombres de mon âme. Dans la première, Fui Ora, le temps se cristallise dans un écho suspendu du passé et de la mémoire du présent; la deuxième, Emofollia, est envahie par la violence implacable du mal; la troisième, Rorschach, évoque la quête de distinction dans l'ambiguïté de l'apparence; dans la quatrième, Mitsein, a lieu une discussion sur l'«être avec» selon la conception de Sartre; enfin la dernière, Iride, représente l'œil du vide.