Dans Thala II, Junghae Lee prend le matériel à disposition comme une occasion d'écouter de l'intérieur et de
conduire l'expérience déjà affinée des sens jusqu'à ses limites (Le «thalamus» éponyme est une partie du cerveau humain relayant et filtrant les flux d'informations en provenance de la plupart des organes sensoriels, ce pourquoi il est appelé également «la porte de la conscience»). Les sonorités de l'orgue restent chez elle toujours reconnaissables et laissent apparaître très clairement le contraste entre l'orgue expérimental et l'électronique.